| Arguments pour l’impression : L’impression est plus personnelle. L’imprimé continue d’être bien accueilli : par exemple, le catalogue IKEA bat tous les records depuis des années et stimule le commerce de détail. Cependant, IKEA s’appuie également sur les médias numériques (par exemple, l’application et la réalité augmentée) et prouve ainsi que l’imprimé et le numérique peuvent être facilement combinés. L’expérience haptique de l’impression et l’effet positif sur la mémoire ne doivent pas être sous-estimés : En général, les principaux messages des textes véhiculés via l’imprimé ou le numérique sont également bien reçus, mais moins de détails sont perçus via la voie numérique. Il s’agit d’une constatation importante, surtout lorsqu’on apprend dans un contexte universitaire. L’expérience de lecture joue un rôle déterminant : plusieurs études montrent que les utilisateurs se souviennent mieux du contenu s’ils l’ont vécu en version papier, car le défilement sur les « pages » numériques conduit à une perception déformée du contenu. De plus, les lecteurs sont plus susceptibles d’être distraits lorsqu’ils lisent sur un écran. Cherchez rapidement quelque chose ici sur Google, cherchez quelque chose là-haut… et hop, vos pensées portent sur un sujet complètement différent. De plus, la vitesse de lecture sur les écrans est nettement plus élevée que dans la version papier. Cela influence la compréhension et la prise d’informations, de sorte que les détails ne sont pas vraiment enregistrés. L’expérience haptique aide la mémoire : les utilisateurs peuvent interagir plus intensément avec le support et, entre autres, faire défiler d’avant en arrière et faire des marquages et des notes – l’expérience est donc différente. L’impression reste et fonctionne longtemps ! Les utilisateurs sélectionnent plus souvent les produits imprimés et les consultent plus souvent. Pour la même raison, des articles tels que des stylos, des T-shirts, des tasses à café ou des sacs sont également imprimés afin d’ancrer les marques et les institutions dans le quotidien des groupes cibles. L’imprimé reste présent et est certainement vu et perçu par plus d’une personne. Les médias imprimés tels que les revues spécialisées sont également solidement ancrés dans le contexte commercial : les décideurs lisent les revues spécialisées – l’imprimé atteint ainsi le bon groupe cible. |
| Découvrit tous nos produits Arguments pour le numérique : Des facteurs tels que les coûts d’impression et les canaux de distribution, qui ont un impact significatif sur les médias imprimés, ne jouent naturellement aucun rôle lorsqu’il s’agit de médias numériques – en fin de compte, choisir le bon canal est aussi une question de coûts et de budget. De plus, les médias numériques sont plus respectueux de l’environnement et économes en ressources. Le numérique est plus actuel et plus rapide à mettre en œuvre : le contenu numérique peut être compilé et publié ou distribué assez rapidement à divers groupes cibles. Les lecteurs et les apprenants sont très flexibles dans leur utilisation et indépendants du temps et du lieu. Les itinéraires de transport et les délais de livraison ne doivent pas être pris en compte. Lors de la compilation d’un contenu imprimé, les nombreuses boucles de correction sont une perte de temps importante, alors que lorsqu’il s’agit de contenu numérique, les auteurs sont assez flexibles. Si un accident se produit et qu’une petite erreur se glisse, les changements et les corrections peuvent être mis en œuvre rapidement et sans grand effort. Cependant, le grand avantage du contenu numérique réside dans la manière dont il interagit : les médias numériques permettent une rétroaction et une interaction directes entre l’expéditeur et le destinataire. Les utilisateurs peuvent donner des commentaires directs et même poser des questions auxquelles il est possible de répondre assez rapidement. De cette manière, toutes les personnes impliquées peuvent bénéficier d’une « communication multidirectionnelle ». Selon le contenu, on peut clairement affirmer que certains contenus peuvent être transmis plus clairement dans les images animées que dans les médias imprimés. En conclusion, on peut dire : il est difficile de faire une déclaration générale sur le support qui est finalement « meilleur ». Il y a trop de facteurs impliqués qui doivent être pris en compte lors du choix du bon support. L’objectif de la publication doit être l’un des facteurs décisifs et il convient donc toujours de considérer à quoi le contenu est réellement destiné et ce qu’il est destiné à réaliser. Le sujet et le « produit » du contenu jouent également un rôle. Si, par exemple, des « produits » plutôt sans émotion sont discutés, pour lesquels des images convaincantes sont moins importantes, le canal de l’impression pourrait être considéré comme plutôt inadapté. |